Les connaissances scientifiques
Les alertes sur la toxicité de l’aluminium vaccinal existent depuis les années 1970. L’Institut Pasteur avait en effet retiré l’aluminium de tous ses produits (vaccins et traitements contre les allergies) de 1974 à 1986, du fait du nombre croissant de publications indiquant les risques liés à l’aluminium utilisé comme adjuvant vaccinal (notamment en terme de développement de l’allergie).
Ces alertes sont de plus en plus fortes, comme nous l’indiquons ci-dessous. Fondées sur des faits scientifiques, elles ne peuvent plus être ignorées. C’est notre santé à tous qui est concernée, et en tout premier lieu celle de nos enfants ou petits-enfants !
La toxicité de l’aluminium utilisé comme adjuvant dans les vaccins est dorénavant prouvée par les travaux scientifiques internationaux, notamment ceux des Pr Exley (GB) et Shaw (Canada).
Les recherches menées à l’Hôpital Henri Mondor (Créteil) montrent chez la souris que la phagocytose par les cellules immunitaires des particules aluminiques dans le muscle injecté favorise leur dissémination dans le système lymphatique, puis sanguin, et leur pénétration retardée par le truchement des monocytes/macrophages dans des organes distants comme le cerveau où elles s’accumulent progressivement.
Une chose est sûre aujourd’hui, une partie de l’aluminium contenu dans les adjuvants diffuse dans l’organisme (…). Nous pouvons affirmer avec certitude qu’on observe un phénomène accumulatif cérébral dans le temps (Pr Gherardi – INSERM – Hôpital Henri Mondor – Créteil).
Cette accumulation d’aluminium dans le cerveau pourrait expliquer les atteintes cognitives des malades de Myofasciite à Macrophages. « Chez ces malades, on observe des troubles de la mémoire visuelle et verbale, des fonctions d’exécution, comme l’attention, la mémoire de travail et la planification ». Ces résultats attestent d’un problème organique : le fonctionnement du cerveau est altéré.
« Ce type d’atteinte du système nerveux a déjà été observé et identifié chez des malades souffrant d’atteintes organiques acquises, de type toxique ou inflammatoire, chez les soudeurs et les hémodialysés, exposés à l’aluminium » (Pr FJ Authier – INSERM, Hôpital Henri Mondor – Créteil – France)
On s’achemine actuellement vers l’idée que certaines personnes auraient, en raison d’un terrain génétique particulier ou de leur âge, une propension particulière à retenir l’hydroxyde d’aluminium dans leur organisme, à diffuser les cellules immunitaires contenant les particules d’aluminium au niveau cérébral, et à y induire une réaction immunitaire chronique aux effets neurotoxiques, complète le Pr Gherardi.
Par les travaux expérimentaux des Pr Gherardi et Authier (chez la souris), nous connaissons le devenir de l’aluminium dans l’organisme après une injection vaccinale :
– L’aluminium perdure de nombreux mois au site d’injection vaccinale.
– Simultanément, il migre dans l’organisme plus ou moins rapidement selon 3 critères :
• le site d’injection – migration plus rapide si l’injection est réalisée en sous-cutané plutôt qu’en intramusculaire,
• le profil génétique – migration plus rapide sur certaines souris que sur d’autres,
• la dose – une dose modérée d’adjuvant aluminique forme des petits agrégats de particules. Elle migre plus rapidement dans le cerveau qu’une dose importante qui, elle, forme des agrégats plus gros longtemps stockés à la périphérie ;
– Cet aluminium s’accumule dans le cerveau, mais aussi dans les ganglions lymphatiques et la rate, qui sont des organes du système immunitaire.
Leurs recherches cliniques permettent de faire le lien entre cette présence d’aluminium dans l’organisme et des symptômes spécifiques. Les personnes atteintes de Myofasciite à Macrophages présentent des troubles cognitifs objectivés par les tests neuropsychologiques. Ces troubles cognitifs attestent d’une atteinte cérébrale, et sont associés à une persistance à long terme de l’aluminium au site de l’injection vaccinale.
Les symptômes de la MFM sont similaires aux symptômes des personnes souffrant d’une intoxication à l’aluminium (syndrome des dialysés, et des travailleurs de l’aluminium) ; ils sont similaires aussi aux symptômes des personnes souffrant d’une intoxication à d’autres adjuvants (silicone, guerre du golfe… voir les travaux du Pr Shoenfeld – Israël).
Pour aller plus loin
– Découvrir les preuves scientifiques
– Voir l’état des connaissances scientifiques
– Voir nos vidéos “Les chercheurs nous alertent”
– Lire les publications des chercheurs :
• Pr Exley (Angleterre), L’ère de l’aluminium
• Pr Shoenfeld (Israël), Le syndrome des adjuvants
•Pr Gherardi (France), La migration de l’aluminium dans l’organisme et L’état actuel des connaissances
• Pr Authier (France), La Myofasciite à Macrophages
• Pr Shaw et L. Tomljenovic (Canada), Les dégâts de l’aluminium dans le cerveau
• Pr Lee : Gardasil, attention danger